Howard Partners, un portefeuille d’expertises en réponse aux grandes problématiques des entreprises.
Notre positionnement de partenaire de la transformation des organisations nous enseigne que les acteurs les plus performants façonnent leur modèle opérationnel et engagent leurs réflexions prospectives autour de 16 axes différenciants.
Mobiliser l’humain pour fédérer un collectif autour des ambitions de l’entreprise
Le tissu économique et social de ces dernières décennies a considérablement évolué. En revanche, le rôle de l’entreprise a peu changé. A l’heure où l’individu est à la recherche de sens et d’autonomie, la finalité de l’entreprise ne peut plus reposer que sur sa seule rentabilité.
Certes, la production de biens et de services de plus en plus abordables vise à améliorer le niveau de vie perçu par le consommateur, mais la jouissance tirée des produits fabriqués ne peut être d’intérêt inférieur à l’éventuel mal-être généré pour les produire ou les distribuer.
Cette impasse s’illustre parfois par des constats de marché de plus en plus prégnants avec :
Il faut libérer l’entreprise et les individus de ces entraves, trop souvent installées et renforcées par des années de crises, afin de remettre l‘entreprise au service des hommes et femmes qui la composent, en privilégiant leur environnement immédiat de manière éthique, et au-delà, en développant une culture de responsabilité et d’autonomie.
Un réalignement des organisations humaines, des talents avec une vision de l’entreprise permet de redonner du sens et une dynamique collective, en s’appuyant sur la mobilisation et la valorisation du capital humain.
La puissance d’une transformation repose sur la capacité à générer une énergie collective
Dans un contexte de transformation de la société sous l’avènement des nouvelles technologies et d’aspirations sociales et sociétales profondes, les entreprises ont engagé de nombreuses initiatives stratégiques visant non seulement à transformer ou réinventer leurs modèles économiques, mais également à adapter leur organisation et changer la culture managériale. Ces projets de déclinaison, lancés souvent de façon erratique, manquent de souffle et peinent à atteindre les objectifs définis. Les entreprises ont ainsi pu confondre agilité et précipitation.
Or, une transformation, bien plus que l’atteinte d’une cible, relève d’un processus d’adaptation en continu, qui doit tenir compte des enjeux de calendrier, de la cible elle-même, de la complexité, de la gouvernance, de la culture de l’entreprise. Cette transformation est d’autant plus efficace qu’elle repose sur la mise en mouvement des collaborateurs, dont la culture s’équilibre entre degré d’ouverture et appartenance.
La définition d’une vision, est la première étape essentielle pour engager la mise en mouvement de l’entreprise. Cette vision intègre les valeurs et la culture de l’entreprise, mais également son organisation et ses activités. Il convient ensuite de trouver le bon rythme de la transformation au travers d’une trajectoire pour atteindre la vision. Enfin, la mise en place d’un dispositif de pilotage permet de soutenir l’action, écouter en interne et en externe pour adapter continuellement le dispositif.
Savoir toujours dépasser les idées simples (vision, valeurs et messages marketing, organisations agiles et innovation …)!!!
Repositionner et gérer un projet en crise relève d’une décision courageuse
De nombreux projets/programme rencontrent des difficultés à aboutir, pour des raisons multiples :
Cette situation qui reste tout à fait comparable aux périodes précédentes de grands changements, impacte aujourd’hui très concrètement:
Redonner une vision et obtenir l’adhésion du management permettent d’engager les collaborateurs dans leurs réalisations.
Toute prise de décision présente, par nature, divers niveaux de complexité, et une gestion méthodique préalable de pensée collective pour être prise
La décision, c’est-à-dire choisir une solution en comparant plusieurs possibilités, peut se catégoriser selon ses impacts (selon Igor Ansoff) , mais également selon son degré de complexité.
Ainsi, nous dénombrons plusieurs types de décisions :
Si l’entreprise s’est organisée pour traiter de manière de plus en plus industrielle les décisions opérationnelles ou même dans certains cas tactiques, l’accélération des évènements économiques, sociaux et sociétaux nécessitent une plus grande prise en compte de facteurs exogènes à l’entreprise dans les décisions que celle-ci doit prendre.
Mettre en place une gouvernance permettant d’identifier avec méthode de manière holistique l’ensemble des décisions auxquelles l’entreprise doit répondre et éviter les écueils liés à la prise de décision en tant que telle sont devenus aujourd’hui des enjeux de survie.