Howard Partners, un portefeuille d’expertises en réponse aux grandes problématiques des entreprises.
Notre positionnement de partenaire de la transformation des organisations nous enseigne que les acteurs les plus performants façonnent leur modèle opérationnel et engagent leurs réflexions prospectives autour de 16 axes différenciants.
Concilier temps court (stratégie) et temps long (vision) est nécessaire pour redonner du sens à l’innovation
Les nouvelles technologies viennent remettre en cause les modèles économiques actuels. En effet, l’innovation est telle qu’il est dorénavant impossible d’imaginer le monde de demain.
Pour autant :
C’est bien une innovation en rupture (à l’opposé d’une innovation incrémentale) qu’il faut savoir engager au sein des entreprises, notamment au travers de 4 modèles économiques : factories, retailers, data makers, servicers.
Pour ce faire, s’appuyer sur les actifs immatériels de l’entreprise, c’est-à-dire ses points de force, tout comme son écosystème est clé.
Le renforcement de son propre écosystème en termes de Modèles, d’Engagement et de Notoriété doit être généralisé pour prendre en compte les nouvelles attentes de la société
En réaction à la rupture profonde de la société actuelle, le renforcement des écosystèmes partenariaux locaux et globaux est devenu vital pour l’entreprise. Les écosystèmes ne se limitent plus qu’à des enjeux de réduction de coûts, mais doivent répondre à la demande client d’authenticité, d’éthique, et de respect de l’environnement nécessitant une approche « long termiste » des relations de l’entreprise avec ses partenaires.
La généralisation des écosystèmes partenariaux représente par conséquent un enjeu majeur permanent pour les acteurs économiques, nécessitant de repenser leurs modèles économiques et opérationnels en termes de Distribution, de Diversification, de Métier ou d’Industrialisation :
La relation client est avant tout une relation humaine bilatérale, entre un client et un collaborateur
L’existence même d’une entreprise repose sur sa Relation avec le Client : la centricité client guide son organisation. Les revenus générés ne sont qu’une conséquence de ce soin apporté au client et non une finalité.
Une bonne relation client gomme la complexité des structures et outils des grands groupes. Mais l’entreprise est constituée d’hommes et de femmes méritant la même attention en termes de fluidité des processus, d’intuitivité de l’environnement de travail, … De l’efficacité et de la condition de travail des uns dépend l’expérience des autres.
Le modèle relationnel client, s’élabore à partir :
La valeur recherchée de la relation client-entreprise est atteinte lorsque la confiance, la recommandation et la loyauté réciproques sont durablement établies.
Intégrer une fintech dans une grande entreprise, c’est réussir le mariage de la carpe et du lapin.
L’avènement des Fintechs s’accélère depuis pratiquement 10 ans. Les grands groupes, qu’ils soient bancaires, assurantiels ou issus d’autres secteurs de l’économie, acceptant une forme d’externalisation de leur innovation, regardent avec un regard bienveillant ces initiatives, en attendant l’émergence d’une future pépite ou « licorne ».
A l’instar du rachat de la société LeCompteNickel par BNP Paribas ou de Leetchi par Arkea, l’enjeu d’une intégration réussie dépasse des objectifs purement financiers ou de communication et d’image employeur et client. Une telle opération sera réussie, non seulement si les synergies opérationnelles ou technologiques sont mises en œuvre, mais aussi si la culture de l’innovation de la start-up perdure, voire vient irriguer au sein de la grande entreprise acheteuse, dont la culture est bien souvent plus industrielle, voire taylorienne, et reposant sur une maîtrise de tous risques.
En synthèse, il s’agit d’engager un projet d’intégration d’un modèle entrepreneurial basé sur l’artisanat avec une entreprise mature et industrielle, en préservant au maximum les actifs de la start-up.