Howard Partners, un portefeuille d’expertises en réponse aux grandes problématiques des entreprises.
Notre positionnement de partenaire de la transformation des organisations nous enseigne que les acteurs les plus performants façonnent leur modèle opérationnel et engagent leurs réflexions prospectives autour de 16 axes différenciants.
La mesure de la performance doit éclairer et orienter les transformations en regard des enjeux de l’entreprise et de son environnement
Les enjeux économiques, sociaux et sociétaux actuels influent directement sur les évolutions attendues en matière de mesure et de pilotage de la performance des entreprises, notamment du fait :
En synthèse, face à l’accélération des événements économiques, sociaux et sociétaux, les dirigeants ne peuvent plus piloter l’entreprise en se limitant à une mesure et un pilotage en fonction des seuls indicateurs économiques et financiers à leur disposition.
Leur performance est aujourd’hui également mesurée en fonction de leur aptitude à anticiper de manière holistique l’ensemble des risques ou opportunités de marché que l’entreprise doit assumer. Cela passe en premier lieu par une mesure holistique, fiable et anticipatrice. Il en va de leur responsabilité.
Les entreprises n’en sont qu’aux prémices de l’exploration des solutions innovantes portées par l’usage des données, des algorithmes et des technologies digitales
S’appuyant sur la stratégie d’entreprise, les nouveaux usages de la donnée offrent des solutions métiers et représentent une opportunité de se différencier, de repenser son modèle, et reconsidérer la place tant des utilisateurs que des clients finaux.
Le couple data/IA renforce les éléments de valeur de la relation client, personnalise les produits et services, automatise les opérations et en facilite le pilotage.
Il sert avantageusement la stratégie d’entreprise face aux deux menaces que sont la concurrence et l’impalpable disruption :
L’orchestration de leur mise en œuvre requiert autant de savoir-faire et d’expérience technique que de connaissance métier. Par ailleurs, une grande attention doit être portée aux rôles et missions devant être remplies par les collaborateurs, une fois le projet réalisé, pour apporter toute la valeur que l’entreprise et les clients peuvent en attendre.
S’appuyer, comme facteur clé de succès de l’entreprise, sur un dispositif visant à maîtriser les risques et à favoriser l’éthique
La dernière décennie a été une décennie de transformation pour le secteur des services financiers. Les organismes de réglementation aux États-Unis et en Europe ont considérablement accru le niveau d’attentes en matière de résilience du secteur financier mais également de conformité avec la réglementation édictée.
Pour faire face à un environnement réglementaire de plus en plus complexe et exigeant, les entreprises ont renforcé considérablement leurs fonctions de gestion des risques et de mise en conformité afin de rendre leurs modèles opérationnels plus robustes aux évolutions du marché, mais également à tous les risques auxquels elles doivent faire face.
A ce titre, le risque de non conformité de ces institutions reste un enjeu majeur et stratégique en raison des conséquences pénales, financières et de réputation qu’il peut engendrer. Il implique également une conduite éthique des affaires adaptée aux évolutions réglementaires et de place, permettant d’une part d’éviter des conséquences pénales et financières importantes, mais également de valoriser une image, conserver une réputation et donc d’accroître la confiance des parties prenantes et de leurs clients.
La mise en œuvre d’une conduite éthique des affaires nécessite une approche holistique de l’entreprise pour :
Ainsi, si les institutions financières semblent se concentrer aujourd’hui sur la maîtrise de leurs coûts d’exploitation, l’accélération de leurs stratégies de nearshoring / offshoring et la mise en place de programmes d’industrialisation pour tirer parti des nouvelles technologies et les intégrer dans leurs activités quotidiennes, il n’en demeure pas moins que ces transformations impliquent d’examiner et de renforcer en permanence leurs capacités de maîtrise de leurs risques, de leur conformité et de l’éthique de leurs activités.
La filière Finance couplée aux filières de Contrôle et des Risques doit éclairer et orienter les stratégies de transformation des entreprises
Les enjeux économiques, sociaux et sociétaux actuels imposent aux Directions Générales et par voie de conséquence aux CFO, de piloter et communiquer sur les finances de l’entreprise de manière holistique et anticipatrice.
Ainsi, la Fonction Finance doit continuer de se renforcer sur ses missions régaliennes compte tenu des attentes toujours accrues de performances financières, réglementaires et de contrôle des risques, d’amélioration de son fonctionnement et d’efficacité opérationnelle, d’harmonisation des différentes filières, de transparence de sa communication financière, et de gestion du capital humain de sa fonction.
Cependant, le CFO ne peut plus se limiter à être le garant de la santé financière de l’entreprise, il doit également faire face à de nouveaux enjeux. Parmi ces nouveaux enjeux, nous en retrouvons plusieurs que nous avons adressés dans le cadre de notre portefeuille d’offres, où le CFO doit jouer un rôle holistique en étant également l’un des garants de la vision des transformations stratégiques de l’entreprise, en termes :